Je passe la main droite entre mes cuisses à la recherche du gourdin et des couilles de mon baiseur. Je caresse la base de la queue, mes doigts n’en font pas le tour et il reste au moins dix centimètres à faire pénétrer dans ma connasse. Aussitôt il me lime en puissance, déclenchant des myriades d’étincelles de plaisir dans mon vagin et dans mon corps. Son corps frémit, se tends, se relâche, monte et descend. Pour autant, je ne délaisse pas la queue circoncise toujours bien bandée, je la tiens fermement de ma main gauche et je rassure son propriétaire. Je crie à nouveau, mais de bonheur cette fois-ci, je suis gavée jusqu’aux entrailles, son gros gland remonte ma matrice très loin dans mon ventre, j’ai l’impression de l’avoir dans l’estomac.
Deux superbes pétasses bisexuelles se roulent des pelles et le sucent